mardi 22 décembre 2020

De l'encre sur le papier...s.v.p...!

Ne jetez plus l'encre sur le papier pendant des années encore...Economisez-là au maximum...!

L'encre de Chine se faisant bien entendu de plus en plus rare, cela va de soi .

Gardez là pour cuisiner les calamars, ils ne seront que meilleurs.

Lors de mes sorties , ces derniers temps hors des anciennes frontières françaises en allant vers l'Espagne, je traversais un petit village ancien de pêcheurs dont le nom m'a fait frissonné, évoquant le nom d'une grave maladie dont je préférerais  taire le nom ici .

Et bien tout compte fait , comme on dit souvent: Coléra c'était cela le panneau à l'entrée du village...Avec l'Elza et meurt on se souvient pas toujours des détails, mais là au moins ce plat de calamars et de seiches inoubliables dégusté dans cette petite auberge sur le port, on ne peut que s'en souvenir et surtout à 3 heures de l'après mid au bord de la mer....

Bref...Que de bons souvenirs sur ces terrasses de bords de mer à des heures exceptionnelles, de quoi remplir des pages et des pages ...Mais j'arrêterai là car peut-être que cela ne vous intéresse absolument pas et qu'entre nous vous préférez certainement les escargots beurre et persil...!

Ne jetez pas non plus l'encre sur le feu...!

Ecrit lors de nos ateliers d'écriture locaux 2019.


vendredi 11 décembre 2020

Pour la Saint Daniel ....Ouvrons la fenêtre...!


 En décembre il serait grand temps d'ouvrir toutes  grandes nos fenêtres, bien sûr ce ne sera qu'un conseil afin que vous fassiez rentrer l'air chez vous pendant qu'il y en a encore un peu de respirable...!

Ouvrons aussi , ne l'oublions pas , nos cœurs à la réussite de tous nos jeunes qui arrivent sur le grand marché du travail et qui ne cherchent rien d'autre que de participer à l'effort collectif de notre monde actuel.

Vous me direz certainement que tout cela vous paraît bien illusoire, un peu peut-être comme souffler dans un sifflet ou dans un cor de chasse pour d'autres....!

Alors à la Saint Daniel , il ne reste  que les vingt derniers jours de l'année 2020 à affronter paisiblement et comme vous dites souvent cela, moi je m'en fout carrément de tout cela car cette année tous les mensonges sont permis encore.

Alors surtout ouvrons grand nos esprits et gardons encore un bon moment les volets clos...

Uniquement par amour de la VIE.


Atelier d'écriture du 10 décembre 2020 chez notre ami J.F/

Texte dédié à une amie qui vient de nous quitter.

vendredi 13 novembre 2020

Entre Tout et Rien.

En ces années là et plus précisément en 1995, tout aurait été encore certainement possible.
Mais à l'approche de la cinquantaine, à cette époque là, tous nos projets étaient encore un tant soit peu réalisable.
On pouvait encore croire à limaginable et à la réalisation de nos rêves les plus fous, ceux que l'on avait pas encore mis à l'épreuve du temps.
Quand je dis les plus fous, j'entends par là en grande partie tous ceux que l'on avait tardé à mettre en oeuvre depuis notre naissance.
Car, pour les autres, ceux par lesquels nous étions passés dans nos jeunes années, il était dorénavant trop tard pour les remettre en question.
Je m'étais d'ailleurs très vite aperçu depuis des années que peu de choses avait changé vraiment et qu'en fait les générations se suivent et restent accrochés aux naissances, à la vie et de temps à autre à celles et ceux qui nous quittent.
Allez savoir pourquoi ?
En fin de compte, les années passent inexorablement et dans tous les cas ce sont beaucoup de petits riens qui font de nos vies, bien peu de choses.

Nous sommes en novembre 2020 et de plus en plus CON-Finés....!


Ecrit par mes soins  lors de l'atelier d'écriture de Plazac  en septembre 2015

mardi 27 octobre 2020

Dans de beaux draps ...!

Je ne peux savoir ce que vous en pensez, mais à mon humble idée , on va certainement y être sous peu, dans de beaux draps.

Moi qui ait toujours aimé coucher dans de magnifiques draps, ce coup-ci , c'est plus que certain il va falloir changer son fusil d'épaule , comme on dit souvent...!

Bien sûr le plus tard serait le mieux, mais en attendant nous pouvons quand même nous réjouir de tout ce qui nous arrive chaque jour, excepté peut-être ce mercredi où nous devons accompagner un ami d'écriture à sa crémation ... Mais peu importe, déjà chaque jour à venir sera une fête, cela, grâce à tous les Saints et Saintes qui ont vécu avant Nous, et qui ont déjà fait l'expérience d'une vie, bonne ou mauvaise pour certain, en fait on s'en fout complètement ...Et ce qui compte , bien sûr c'est toujours ce qu'il en reste...

Eux et Elles aussi ont eu du vécu et ils ou elles ont racontés tout cela dans des livres et des livres et tout cela a passé et dépassé toutes les pires époques...!

Mais alors : Restons positif et posons nous la fameuse question : " Peut-on accueillir tout le Monde...? "

N'est elle pas bonne cette question, Allez demain, en fait aujourd'hui on a été dans de beaux draps à Notre Dame de Sanilhac pour accompagner notre ami d'écriture...!
Et tout cela c'était il y a un an déjà



jeudi 3 septembre 2020

Sur les chemins de Canterate. Premier épisode


Lorsqu’il découvrit au petit matin le site merveilleux dans lequel il venait de passer sa première nuit de liberté, il n’eut pas de mal à comprendre ce qui lui était arrivé durant ces dernières années. Il ne tenait pas trop à en parler, surtout avec les gens qui auraient pu le prendre pour un fantaisiste.
Sa première réaction après s’être longuement étiré et avoir, avec admiration regardé autour de lui cette brume qui enveloppait encore tout le paysage, fut de reprendre son sac de toile sur lequel il avait posé sa tête toute la nuit, en veillant attentivement à ce que les quelques objets qu’il possédait ne le gênent pas dans son sommeil.
Il n’avait , pour toute fortune que ces quelques affaires qui lui avait été remise lors de sa libération, mardi matin. C'était bien ce mardi matin, oh combien attendu depuis des années, c’était bien cela la fin d’un long cauchemar qui avait duré, duré des années sans en voir réellement la fin. Et puis brutalement il fallait tout quitter, ses habitudes, ses cauchemars, ses rêves...
La grande porte s’ouvre sur un espace mille fois appréhendé sans jamais en croire l’existence. Et pourtant.... !
Maintenant il fallait absolument se réveiller, sortir du songe et ne penser qu’à aujourd’hui, hier c’était fini, le passé ne devait plus resurgir dans ce qui allait se passer dans les jours prochains. Demain ce serait autre chose, le monde aura changé, mais brutalement les idées de ce monde nouveau traversèrent sa tête : « qu’allait-il trouver, aujourd’hui dehors ? ». Ce qu’il avait quitté il y a dix ans, il ne le retrouvera jamais, il avait dans sa situation des difficultés pour repenser à toute cette période difficile et surtout il se demandait toujours pourquoi il en était arrivé là, à ce point critique de non-retour.
Dix années étaient passées comme cela tout simplement, en quelques minutes tout s’était renversé et cela était apparu brutalement comme une chose nécessaire, nécessaire à quoi, cela je ne sais toujours pas et il n’est pas facile d’en parler.

Il chercha dans son sac son petit réveil qu’il avait gardé depuis le départ, un réveil comme certainement on n’en voit plus beaucoup, il l’avait avec lui depuis des années, ce genre de réveil avec lequel de nuit comme de jour on voit les chiffres qui défilent et qui vous fait prendre conscience que le temps passe, passe tout simplement, les minutes défilent, les heures défilent, les jours puis les années... Et soudain on se retrouve là assis dans l’herbe encore mouillée du matin, face à soi-même, seul comme au départ, devant son avenir .
Et pour lui, à cette heure matinale, il lui fallut beaucoup de courage pour se mettre sur le chemin qui avait l’air de descendre vers le petit village encore endormi. Il marcha les quelques kilomètres qui le séparaient des premières maisons encore en ruines, celles que personnes sans doute n’avaient voulu occupées tellement la tâche devait être grande pour les remettre en état. Le petit panneau bleu à l’entrée du bourg indiquait le nom du village, il était tellement ancien que l’on avait peine à lire le nom « B.U.Z .Y. » et les restes de végétation qui le recouvrait partiellement montrait bien que le temps avait fait son œuvre.
Il trouva dans le centre du bourg un petit café, ou tout au moins ce qui avait été auparavant un café, les vitres étaient assez sales, et lorsqu’il essaya de jeter un coup d’œil à l’intérieur il entendit une petite voix féminine qui l’interpella, elle lui sembla lointaine et venir du fond de la boutique. Il s’aperçut qu’il avait besoin de reprendre contact avec ses sens. Soudain il se mit à rire, se retourna et vit juste à côté de lui une charmante jeune fille qui lui demanda pour la deuxième fois « Vous cherchez quelqu’un, Monsieur. je m’appelle Gwendoline, et j’habite dans la petite maison à la sortie du village. »
Il eut une hésitation et ne tarda pas à se présenter : « moi, c’est Luc, bonjour, il y a quelqu’un dans cette maison, est-ce encore le seul café du village .» . D’un geste elle passa devant, poussa la porte, une note agréable se fit entendre qui lui rappela les clochettes qu’il y avait derrière les portes des petites épiceries. Ils se retrouvèrent tous les deux dans une grande pièce vide avec deux tables sur la gauche, quelques chaises usées par le temps et de grands bancs de bois rangés le long du mur. Au fond de la pièce deux grandes portes donnant l’une sur un couloir et l’autre sur une grande cour intérieure.
« Vous désirez ! ... », questionna une grande dame auquel personne n’aurait pu donné un âge précis . Elle s’approcha de Gwendoline qui à première vue était très intime avec elle . Luc s’approcha, lui serra longuement la main et finit par lui adresser la parole, ce qui, pour lui, était encore très difficile : « Bonjour Madame, connaissez-vous des chambres à louer dans le village ou aux alentours ? »
Elle les invita à s’asseoir en leur demandant :
« Que prendrez-vous ? Puis-je vous offrir un grand café ?. » A ces mots ils allèrent directement à la table près de la fenêtre et Luc posa son sac sur la chaise. Ils confirmèrent leur désir de prendre un bon café en insistant : « - Pour moi ce sera un grand café et des tartines beurrées, et de la confiture et pour vous Gwendoline, que désirez-vous ?.la même chose, pourquoi pas !.dit-elle de sa petite voix hésitante. »
Aussitôt dit, la grande femme dont on ne connaissait même pas le nom ni le prénom était partie vers ce qui semblait être son arrière cuisine. Elle ne nous avait même pas répondu à la question qui était primordiale et qui allait peut-être permettre à Luc de rester là quelques jours , voire même quelques mois.
Elle ne tarda pas à réapparaître, un grand plateau de bois sur les avant-bras qui témoignait de son habitude à servir, elle déposa sur la table après avoir essuyé d’un geste souple la vieille toile cirée qui devait être là depuis plusieurs années, tout ce qu’elle nous avait apporté, deux grandes tasses jaunes avec de petits motifs floraux bleus, un grand pot de café noir en inox comme l’on trouvait autrefois dans les cantines scolaires, des sucres emballées dans des petits papiers représentant les grands musiciens de la renaissance, un petit pot de lait en faïence blanche, et le plus important : quatre grandes tartines beurrées qui paraissaient à première vue immenses, la confiture était encore dans le pot avec dessus une étiquette sur lequel figurait tout simplement « fraises juin » la date était effacée ou tout du moins illisible....

G
wendoline devait avoir moins de trente ans, elle ne causait pas beaucoup, peut-être n’était-elle pas encore en confiance, elle avait depuis longtemps oublié dans ce village qu’il existait partout ailleurs des personnes qui vivaient autrement qu’elle.

A suivre bien sûr...au cours de l'année 2021


Et en février 2021; peut être le livre "Voyage au coeur des S.E.L. ; verra le jour...!

Bonne lecture à Tous-tes.

D'Archissi.

samedi 22 août 2020

Je ne suis que de passage...!

 En cette fin de mois d'août, osons encore partager une petite note de douceur en musique, afin d'adoucir carrément les mœurs actuels...Le son ne dura qu'un instant , repoussé bien sûr par le chant des stylos et les bruits des papiers froissés...Allez courage les ami(e)S...!

Alors il ne sera pas si facile que cela de mener à bien cette action d'écriture spontanée surtout dans ce monde de brutes et d'êtres soumis en permanence à de nouvelles lois ridicules.

Bref, passons vite à autre chose et arrosons cela tant que l'on pourra encore et surtout n'hésitons pas à nous exprimer par l'écriture, cela restera un moyen de partager nos idées.

Allez , je ne vous en dis pas plus aujourd'hui, le mois de septembre approche à vitesse grand V...Et déjà ce matin les brouillards d'automne pointaient leur nez dans les vallons encore humides de la pluie d'hier soir ...

Courage mes ami(e)S




vendredi 10 juillet 2020

Serions nous Tous débordés....?

C'est exactement la question que je me suis posé lors de l'atelier d'écriture du jeudi 
Je voyais bien qu'ils nous seraient impossible d'écrire étant donné que tout était dans la parole.... La chaleur faisant aussi sa destruction au niveau de la pensée, non pas que l'encre de nos stylos menaçait d'une cessation d'activité, bien au contraire, ce fut au niveau général le manque d'idée....
 Du coup , nous remîmes tout cela à la semaine prochaine...!
Allez Albert Dieu vous salue bien Et bon week-end de 14 juillet  sans excès bien sûr




samedi 4 juillet 2020

Remplir le silence...

Et surtout ne pas oublier de vider la poubelle en sortant.
Voilà ce à quoi vous pouviez vous attendre en lisant les quelques consignes de sécurité de l'établissement socio-culturel du village. Il est certain qu'avec tous les évènements qui se passaient ici et dans les alentours depuis plusieurs mois , on pouvait largement s'y attendre.
Surtout depuis l'apparition de tags sur tous les murs encore restés libres, ce qui tenait en émoi , une bonne partie de la population. Les discussions allaient bon train et remplissaient progressivement tous les échanges sur le sujet.
La question se faisait de plus en plus urgente: "Allait-il falloir fermer définitivement cette maison des Jeunes, des Arts et de la Culture ? "
En finir une bonne fois pour toutes de ces concerts dominicaux qui empêchait tout le monde de dormir en remplissant grandement les nuits des administrés, même si ceux ci en avaient rêvés auparavant de remplir leur silence.
Alors qui aura les c.....s de la fermer ?
Sur ce point précis :  SILENCE TOTAL
Je republie ce texte de nov. 2016....Avec tout le bonheur du monde....! Pour mes ami(e)S...!

samedi 27 juin 2020

ELOGE DE LA PARESSE.

Lors d'un atelier d'écriture du 23 novembre 2017. Une belle éloge de la paresse pour VOUS mes ami(e)S

Bon, sérieusement, le plus dur c'est de nos jours de s'y mettre à écrire et après je vous assure ça vient tout seul....
Bien sûr il vous faudra au moins un stylo et même si vous voulez mener à bien votre affaire: une belle feuille de papier. Et après il vous suffira de laisser glisser la bille de votre stylo sur le papier de gauche à droite pour nous et vous verrez bien que ça glissera tout seul et votre feuille se remplira...
Bon, on peut passer au deuxième temps au chose beaucoup plus sérieuse car entre nous , il ne faudra pas que cela vous fatigue trop.
En effet , j'en vois déjà qui commence à fatiguer nerveusement et bien non ....Ils continuent car la page n'est pas encore pleine...
Tiens une idée parcourt mon esprit et me fait penser à la différence entre la fainéantise et la paresse ? Et d'abord , n'est ce pas un peu pareil ou bien est ce totalement différent, vous ne pensez pas?
Bon , cela fera sans nul doute d'un nouveau sujet, car là cela commence à me fatiguer et il y a de quoi, vous ne pensez pas.?
Et puis je vois bien que c'est aussi le stylo qui fatigue alors comme d'habitude , passez une bonne soirée et à bientôt peut-être.


Début 2020, je fêterai ici les douze ans de ce blog...!

Un grand anniversaire avec VOUS.


mercredi 22 avril 2020

Et si l'on se disait TOUT.... Suite infernale...!


J'avoue une chose : en ce moment c'est un peu comme en avril 2018 , on ne sait plus très bien où l'on en est...


Nous sommes un peu comme des crevettes prises dans le filet du pêcheur et cela d'ailleurs depuis déjà un moment ....Alors que faire ...?

Mais pourra-t-on s'en sortir de ce filet et dans quelle détresse pour certains. Ce sera un peu comme si un paralytique voudrait faire parti d'un atelier d'écriture sachant qu'il est sourd-muet ... Je ne sais pas si vous voyez le tableau.

Bon , comme on le disait à l'époque et à bon escient quand même: le mariage pourrait tout arranger.... A moins que ...!
Les tics ou l'éthique n'est pas en ce moment au goût du jour; heureusement d'ailleurs pour nous tous car en partant radicalement dans tous les sens on arrivera sans nul doute à quelque chose de positif...Du moins j'ose espérer.
C'est un peu comme un bon repas sans choux-fleurs ou un cocktail sans alcool , et si l'on prenait notre courage à deux mains (à demain bien sûr...!) et qu'enfin on se le dise ....Y-en à marre de tout cela ....SORTONS...!!!
Et bonjour la liberté ? Celle d'entreprendre , de créer , de chanter , en un seul mot: VIVRE....!
Allez à bientôt pour le meilleur et évitons le pire car il nous guette...!

dimanche 22 mars 2020

22 mars 2020...Et si l'on se disait TOUT...!

Bon sérieusement , il serait urgent de réagir ...plus d'ateliers d'écriture, plus de rencontres amicales, et en plus ce n'est que le début de cette superbe mascarade....Alors que va-t-on devenir si l'on continue à s'enfermer dans notre monde .
Allez on se remet à l'écriture et au jardinage ...On sort pour respirer la nature , pendant que dans les villes les gens commencent à crever confiné devant leur télé et leurs ordinateurs....

Tout un programme ...!!!
Alors vite une solution ....!!!

mercredi 11 mars 2020

La folie ordinaire...!

Comme si Charles Bukowsky était parmi nous…!
Alors comme on disait à l’époque , bonne continuation à tous.
A Tous et à Toutes qui avaient décidé de s’isoler, d’ailleurs on avait même décidé de créer des zones d’isolement, afin que la folie ne soit pas considérée comme un acte presque révolutionnaire…Et puis à force d’en parler on a compris que c’était presque un phénomène qui rentrait dans la normalité la plus élémentaire…!
Ah la belle époque que cette folie collective qui parcoure tout le territoire et même plus dans l’au-delà et qui va devenir très rapidement la seule activité raisonnable avec cette question qui revient en permanence: « Etes vous un porteur sain…? »
Allez bien sûr, arrêtons de faire de la figuration permanente et commençons à revivre comme chaque année depuis que nous sommes arrivés sur la terre, les prémices du printemps….!
Et rendez vous comme chaque année au mois d’avril pour fêter les 9 ans de Fukushima et surtout le neuvième anniversaire de notre grand atelier d’écriture de Plazac , avec ou sans virus comme chaque année ….
Un vrai conte de la folie ordinaire avec tous ses acteurs….!!!
Atelier d’écriture du 10 mars 2020

samedi 29 février 2020

L'intimité éphémère

Et même en ce jour, un tant soit peu de timidité dans la recherche des mots utiles ou inutiles dans ce monde de l'éphémère.

En fait dans la vie , tout est éphémère sur notre planète Terre et cela , je peux vous l'assurer depuis des milliers d'années, voire des millions...!

Alors pourquoi encore une fois de plus se poser la même question sur l’existentialisme, d'autres avant nous  l'avaient fait avec une certaine efficacité et ce ne sera certainement pas nous, avec la meilleure volonté du monde qui pourront faire changer les choses.

Alors vous pensez bien qu'il est inutile  de continuer à se poser ces questions qui n'auront aucune issue positive.

Alors une solution peut-être à tous nos questionnements, essayons d'attendre avec bienveillance le retour du soleil et passons plus de notre temps dans l'intimité éphémère de la Nature...

Elle en aura un très grand besoin dans les mois qui viennent.


A bientôt



jeudi 13 février 2020

Comme au cinéma...!

Ah, vivement que tout cela se termine, car depuis un moment on ne parle plus que de cela dans notre bon Périgord...!

Le cinéma, oui quel cinéma ...! Tout ce cinéma permanent avec la découverte pour chacun de nous de ce milieu très particulier... Entre le travail de chacun , l'argent qui en découlera et tout le cinéma perpétuel autour du tournage ...!
Bien sûr , tout cela ne va pas changer grand chose à la situation générale de notre belle région qui depuis déjà très longtemps avait été envahie littéralement par les châteaux de toutes sortes pour en arriver à plus de 1001 châteaux...

Et en fait d'ailleurs vous savez pourquoi ?
Et bien tout simplement et uniquement parce qu'à l'époque les riches qui venaient s'installer dans la région n'y étaient pas imposés et pouvaient ainsi avoir recours à la population locale pour les faire travailler pour eux...En fait cela n'a pas beaucoup changé....!
Un peu comme au cinéma aujourd'hui, on va nous faire travailler dans notre belle région, la Vie de château quoi ...!!!

Et c'est ainsi que le manège tourne ....Sous le même signe de l'Abondance ...Et puis on verra bien si cela dure jusqu'au bout des temps...!
Sortie du film en 2021...je l'espère...!

dimanche 2 février 2020

"La chiantitude "

La chiantitude, Mais çà n'existe pas...!
 Ce n'est seulement que le luxe d'exister et surtout d'en estimer toujours la mesure.
D'ailleurs comment la mesurer cette chiantitude autrement qu'en y mettant des étoiles un peu comme dans un guide Michelin ou dans un guide bleu, pourquoi pas ...!
En fait pour ma part , j'écris chaque jour et je n'avais jamais pu imaginer que cela deviendrait un jour plutôt chiant.
Et surtout la question m'est posée: pourquoi insister ? Même si cela un jour fera quand même chier tout le monde au point que je ne soit même plus lu du tout...!
Alors ce fameux jour-là ma mission d'emmerdeur spécialisé sera enfin accomplie et je n'aurai plus aucune raison d'être.
Enfin on verra cela si la planète se réchauffe à ce point et que la chiantitude par 45°C sera plus dure pour se protéger qu'à 20 °C car en fait tout est lié dans notre petit monde d'écrivain.
A bientôt quand même .

Texte écrit le mardi 9 juillet 2013.

vendredi 3 janvier 2020

Souvenirs...Souvenirs...2019-2020

En cette fin d’année 2019, pour notre dernier atelier d’écriture de l’année, on peut le dire à tous , depuis soixante-dix années les souvenirs c’est comme s’il en pleuvait tous les jours…
En fait il y en a tellement qu’il y en aurait assez pour remplir des bouquins et peut-être même en faire une nouvelle encyclopédique de plus de 1500 pages… Et tout cela, en fait pourquoi et surtout pour qui ?
Personne parmi mes connaissances n’a une réponse à cette question. Dans tous les cas ce ne serait pas pour parler de ceux qui nous ont quittés, car là aussi il y aurait tellement à dire que là déjà on dépasserait largement le quota des 1000 pages.
Alors pas d’idées précises vraiment en ces dernières heures de l’année, car en plus le 31 décembre c’est la journée de tous les dérapages. Nous aurons donc quand même une pensée pour les quatre milliards de pauvres de la planète.
Une pensée aussi pour les koalas australiens, mais pas que pour eux , car ce seront aussi le problème de toutes celles et ceux qui vivront plus tard , nos enfants, petits enfants et mes arrière petits enfants qui peut-être un jour liront mes quelques souvenirs-souvenirs comme ici…
En attendant cotisons tous dans l’illégalité pour des jours meilleurs en 2020… Bien cordialement à Tous-tes.